SOCO développe une galerie de portraits entre noirceur et luminosité. Inspirée des peintres viennois du 20 ème siècle, de l’école lowbrow et du street art, les oeuvres qu’elle propose sont le mélange d’un style graphique marqué et d’une peinture instinctive par dripping.

« Je reste attachée à la peinture figurative. L’art du portrait est pour moi un défi d’une incroyable complexité et une source inépuisable de questionnements. Au delà de l’humanité, la féminité est mon sujet de prédilection. La femme aujourd’hui plus que jamais cherche son chemin, cette quête dans laquelle je suis engagée s’exprime en peinture. Ma peinture cherche sa voie comme ma féminité cherche la sienne dans un univers contraint et exigeant.
Je vis cette activité comme une lutte qui se traduit par un processus de traitement pictural oscillant entre sensualité et brutalité.La ressemblance au modèle importe moins que la portée universaliste du questionnement. Celui-ci, comme la toile, reste toujours inachevé. »